Sévères et difficiles à traiter révèlent qui auront une RA grave
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On a longtemps débattu de la question de savoir si la polyarthrite rhumatoïde (PR) a une véritable composante génétique et s'il existe un moyen de prédire qui va contracter la maladie ou à quel point cela va les affecter.
Maintenant, une nouvelle étude conclut que certains facteurs génétiques peuvent jouer un rôle dans la prédiction de qui va développer une PR. Les gènes d'un patient peuvent également montrer la gravité de la maladie qu'ils vont développer. Cela pourrait jouer un rôle dans la prévision du pronostic d'une personne.
Des progrès ont été réalisés dans l'identification du rôle que joue la génétique dans les maladies auto-immunes comme la polyarthrite rhumatoïde. La portée de ce développement sur le traitement et le pronostic n'est pas encore claire, mais les chercheurs indiquent que la dernière découverte pourrait constituer une opportunité dans la recherche sur la polyarthrite rhumatoïde.
Anne Barton, Ph.D., qui est membre du Royal College of Physicians, a dirigé l'étude avec ses collègues de l'Université de Manchester, en Angleterre. Ils ont noté que la réplication de ces résultats sera nécessaire pour catapulter les résultats de la théorie à la pratique.
Avec l'information, les chercheurs ont déterminé que le gène HLA-DRB1 était associé à la sévérité de la polyarthrite rhumatoïde ainsi qu'à la réponse au traitement.
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Dans un éditorial publié accompagnant l'étude, David T. Felson, MD, MPH, de l'École de médecine de l'Université de Boston, et Lars Klareskog, MD, Ph.D., de l'Institut Karolinska / Université Karolinska Hospital, Stockholm, a écrit qu'il y a trois conclusions importantes à tirer de l'histoire.
Le premier est que les résultats peuvent ajouter à la capacité de prédire les résultats de la PR et aider à optimiser les stratégies thérapeutiques pour différents patients.La seconde est que la recherche peut contribuer à la compréhension des mécanismes moléculaires qui déterminent l'évolution de la maladie et la mortalité.
Le troisième est que les résultats peuvent aider à comprendre la pathogénie de la maladie.
Les chercheurs ont noté que l'étude n'a peut-être pas d'implication immédiate sur le plan clinique, mais l'identification de ces susceptibilités génétiques est d'un grand intérêt pour la communauté rhumatologique.